1 - Les élèves réalisent
des activités disciplinaires sur ordinateur.
Dans le cadre des cours, pour la plupart des disciplines du
collège, les élèves utilisent l’informatique comme outil (de
recherche, de mise en forme, d’acquisition de connaissances,…).
C’est au cours de ces activités liées à un enseignement qu’ils
acquièrent en plus des compétences informatiques. Le B2i ne
s’évalue donc pas à partir de « leçons d’informatique » ou
« d’exercices informatiques » sans contenus disciplinaires.
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BO n°42 du 16/11/06 : Les compétences constitutives
du B2i sont donc développées et validées dans le cadre des
activités pédagogiques disciplinaires, interdisciplinaires ou
transversales menées dans les écoles et les établissements
d’enseignement et de formation.
Conclusion :
Il est indispensable qu’un maximum de disciplines utilisent
d’une manière ou d’une autre l’outil informatique pour permettre
aux élèves de développer différentes formes d’activités et donc
d’atteindre toutes les compétences définies par le B2i
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2 - Les élèves acquièrent
des compétences en informatique.
Bien sûr en manipulant l’outil informatique, les élèves
rencontrent des difficultés. Avec l’aide des enseignants ils
dépassent ces difficultés et acquièrent des savoirs faire. Une
des principale difficulté de l’évaluation du B2I est bien de
savoir à partir de quel niveau l’acquisition de ces compétences
peut être validée et peut être notée dans la feuille de
position.
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BO n°29 du 20/07/06 : L’évaluation des compétences
du brevet informatique et internet collège fait l’objet d’un
travail régulier tout au long des quatre années du collège.
Conclusion :
Les compétences définies par le B2i sont observées mais pas
évaluées : le B2i n’est pas un examen ou un concours !
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3 - Les élèves estiment
leurs progrès et les signalent à leurs professeurs.
La demande de validation doit venir de l’élève
(plus depuis 2008)
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BO n°29 du 20/07/06 : À la demande de l’élève, tout
enseignant valide progressivement la feuille de position
relative à l’un des niveaux susmentionnés.
BO n°42 du 16/11/06 : Ils (les enseignants)
valident progressivement les items lorsque l’élève ou l’apprenti
estime les avoir acquises.
Conclusion :
Sans une certaine part d’auto évaluation, le B2i ne peut pas
être mis en place.
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4 - Les professeurs
observent les élèves et valident les compétences voulues.
Au cours de leurs activités informatiques visant l’acquisition
de connaissances disciplinaire, les enseignants voient les
élèves agir, réfléchir. ce sont bien eux qui peuvent valider les
items du B2I.
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BO n°42 du 16/11/06 : Tous les enseignants ont
vocation à valider les items constitutifs des compétences qui
figurent dans les feuilles de position du B2i.
Au collège, au lycée et dans les CFA et SA gérés par des EPLE,
l’attestation du B2i ne peut être délivrée que si au moins deux
disciplines figurent sur la feuille de position.
Conclusion :
Il faut donc se « partager » les compétences à valider.
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5 - En fin d’année le chef
d’établissement édite et signe les attestations pour chaque
élève ayant obtenu la validation de toutes ses compétences.
Le B2I est un document officiel qui doit être authentifié.
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BO n°42 du 16/11/06 : L’attestation est délivrée
par le directeur de l’école sur proposition du conseil de cycle
ou par le chef d’établissement sur proposition de l’équipe
pédagogique ou du conseil de classe.
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Conclusion générale :
Il est indispensable de se munir d’un outil simple de gestion
des compétences acquises ou non par les élèves et permettant
leur suivi d’une année sur l’autre.
Si la gestion « papier » coûte en
photocopies avec une fiabilité faible (perte par les élèves). Une gestion informatique, si elle demande une
petite formation, offre l’avantage d’être plus souple, plus
ouverte (plusieurs paramètres peuvent être modifiés, chacun peut
atteindre l’information nécessaire), et plus fiable (sauvegardes
régulières).
Mais comme aucune solution informatisée n'a été
officiellement validée (reconnue et imposée). Il faut tenir compte des élèves qui
changent d'établissement - d'académie... Comment transmettre leur
validation autrement que par le papier (!) D'où
notre solution ;
1 - validation des compétences par les
enseignants sur papier
2 - confirmation et enregistrement par le logiciel B2X
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